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Quand on réalise que ses cheveux ne suivent plus
Je me souviens très bien du moment où j’ai commencé à m’intéresser aux rajouts de cheveux.
Ce n’était pas après une catastrophe capillaire, non.
Juste une période où mes cheveux semblaient… fatigués.
Plus vraiment de volume, une longueur qui stagnait, et cette impression un peu frustrante de ne pas réussir à obtenir ce que je voulais, malgré tous les soins du monde.
Un matin, en discutant avec une collègue, je lui ai confié ma lassitude. Elle m’a regardée, a haussé les épaules et m’a dit :
« Tu sais, tu pourrais ajouter quelques mèches. Pas pour tricher, juste pour te sentir mieux. »
Au début, je n’étais pas convaincue.
Les rajouts, dans ma tête, c’était quelque chose de visible, de lourd, un peu artificiel.
J’étais loin du compte.
Une solution adaptable, discrète et bien plus naturelle que prévu
Ce que j’ai découvert en me renseignant, c’est la diversité des méthodes.
On peut ajouter quelques mèches seulement, ou faire une transformation complète.
On peut opter pour des systèmes temporaires, semi-permanents, plus sophistiqués ou plus spontanés.
En réalité, les rajouts sont devenus tellement fins, tellement bien travaillés, qu’ils se fondent dans la chevelure beaucoup plus facilement que je ne l’imaginais.
Ils peuvent faire trois choses essentielles :
- apporter du volume,
- allonger les cheveux de quelques centimètres,
- corriger une coupe ratée ou déséquilibrée.
Parfois, il suffit de quelques mèches autour du visage pour réveiller tout un look.
Et c’est exactement ce qui m’a surprise : pas besoin d’une transformation radicale pour ressentir une vraie différence.
Une technique plus douce qu’on ne l’imagine
J’avais peur que les rajouts abîment mes cheveux — comme beaucoup, je crois.
Mais les méthodes actuelles sont bien plus respectueuses qu’il y a dix ou vingt ans.
Que ce soit les bandes adhésives, les extensions à froid ou les extensions à clip, tout est pensé pour limiter la traction, la chaleur et les risques de casse.
Une coiffeuse m’a expliqué que, tant qu’on ne tire pas sur les mèches et qu’on entretient correctement les longueurs, les rajouts n’abîment pas plus les cheveux qu’un brushing un peu trop fréquent.
Et ça, honnêtement, ça m’a rassurée.
Le petit effet psychologique qu’on n’anticipe pas
Je ne pensais pas que quelques mèches de plus pouvaient faire ça.
Ce n’est pas seulement une question de longueur ou de volume.
C’est aussi — et surtout — une question de confiance.
Quand je suis sortie du salon avec mes premiers rajouts, j’ai levé la tête un peu plus haut.
Pas par vanité.
Juste parce que je me reconnaissais davantage.
Mes cheveux disaient quelque chose de moi que j’avais un peu perdu en route.
Et ce sentiment-là… difficile à expliquer, mais impossible à oublier.
En résumé
Les rajouts de cheveux, ce n’est pas tricher.
C’est s’offrir un petit coup de pouce, un geste pour se sentir mieux, retrouver une harmonie, une densité, une expression.
Une solution douce, modulable et souvent bien plus naturelle qu’on ne le pense.
Souhaites-tu que le prochain texte reste dans la thématique capillaire, ou qu’on change complètement d’univers ?
